Après avoir distingué les dépenses « ordinaires » de formation de ce qui relève plutôt d’un investissement, l’article identifie les modes de comptabilisation de l’investissement formation et les problèmes rencontrés dans sa prise en compte effective. Il énumère ensuite les principaux régimes fiscaux liés à la formation, en France et ailleurs, pour conclure sur l’utilité et l’opportunité de la transcription comptable des investissements en formation dans des postes de l’actif, et sur la nécessité de garder à l’esprit le principe de prudence.