L’auteure décrit quelques-unes des difficultés apparues lors des deux dernières années d’expérimentation d’AFEST, en insistant sur les limites méthodologiques et théoriques concernant l’utilisation de la notion de compétence. Cela la conduit à investiguer une autre notion, celle de situation de travail. Comment définir et limiter une situation de travail pour qu’elle devienne un concept opérant ? Car finalement, l’intérêt de l’AFEST réside bien dans sa capacité à prendre en considération non pas le travail en général mais un certain travail dans un certain contexte avec certains acteurs. D’où la nécessité de n’évoquer la compétence qu’en situation de travail.