L’AFEST interroge l’action des financeurs publics et parapublics, qui doivent non seulement intégrer cette nouvelle modalité dans leurs processus de gestion, mais également la promouvoir pour répondre à la volonté du législateur. Ils sont ainsi invités à se réinventer, en assurant un rôle d’influenceur de l’action des entreprises et des particuliers dans le respect du cadre défini par l’action publique. On peut aller jusqu’à imaginer que le financeur n’aura bientôt plus qu’une place réduite au sein de l’AFEST, lorsque les entreprises s’en seront approprié les mécanismes et en auront identifié les bénéfices, au point qu’il ne sera plus nécessaire de prévoir une incitation financière pour les encourager à initier de telles actions.