Le fondateur d’une entreprise de service à la personne raconte comment, se sentant dépossédé de son propre projet par des gens qui décident pour les autres, il a choisi de passer à l’AFEST pour professionnaliser ses salariés : « Si nous voulons faire progresser le développement des compétences et la formation professionnelle, nous devons nous poser la question de savoir qui est le “client” et comment nous l’aidons. L’AFEST est disruptive parce qu’elle part de là : du besoin de l’entreprise et de celui du salarié. »