A partir du lien entre religion et développement, l’article tente une lecture transversale de l’œuvre d’Henri Desroche. L’auteur en vient a considérer que les années consacrées par Desroche à l’éducation permanente via la recherche constituent le sommet d’un parcours visant l’émancipation de la personne, grâce à l’accompagnement maïeutique, à la dialectique acteur-auteur et au réinvestissement des nouveaux acquis dans une dimension sociale.