Titre de l'article | Auteur |
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Petite métaphysique de l’étonnement | Daniel Hameline |
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Mais où est donc passé l’étonnement ? | Philippe Meirieu |
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Evénement et étonnement : pour quel apprentissage ? | Jean-Pierre Boutinet |
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L’homo demirans ou l’homme qui, s’étonnant, devient connaissant | Guy Jobert, Joris Thievenaz |
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Pédagogie de l’étonnement et pédagogie de la surprise | Jacques Ardoino |
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Apprendre à s’étonner | Patrick Mayen |
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L’étonnement, fondateur d’un parcours de vie et de recherche | Jean-Paul Bronckart |
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Surprises, découvertes, étonnements : l’entretien d’explicitation et l’éveil de la mémoire passive | Pierre Vermersch |
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Repérer l’étonnement : une méthode d’analyse du travail en lien avec la formation | Joris Thievenaz |
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De l’étonnement au problème | Michel Fabre |
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Etonnement, énigme et sciences humaines | Yves Schwartz |
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S’étonner au travail : quel rapport à la prescription ? | Paul Olry |
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L’entreprise éducative au prisme de la notion de « forme scolaire » : retour sur quelques étonnements dans un itinéraire | André D. Robert |
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Une clinicienne saisie d’étonnement | Mireille Cifali Bega |
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« Déçu en bien » ou l’étonnement comme pratique | Christine Revuz |
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Co-inventer l’étonnement dans un dispositif de professionnalisation | Max Masse, Grégory Gouyet |
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Vivre avec la maladie, c’est ne pas cesser de s’étonner | Philippe Zarifian |
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Surpris, étonné, déconcerté... Comment chatouiller la curiosité du lecteur ? | Daniel Marcelli |
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Figures de l’étonnement | Philippe Astier |
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L’étonnement révèle un sujet bien différent de ceux que proposent les discours scientifiques et de gestion. Loin, mais peut-être pas tant, de la compétence, c’est un sujet dont l’action est suspendue, qui se confronte au monde et fait ainsi « acte de présence et de pensée » devant la nécessité de remettre en cause savoirs et certitudes pour faire face aux situations. Cela le met en fragilité avec le monde mais aussi avec les pouvoirs institués. Ainsi, l’étonnement peut s’appréhender comme l’orée d’une démarche de développement personnel et professionnel possible autant que comme la confrontation à des difficultés sans fin. Les différences entre ces « destins d’étonnements » débouchent sur la prise en compte de la contribution de ces moments à des dynamiques d’émancipation et d’affirmation de soi, mais aussi sur l’éventualité d’un apprentissage social de ce qui pourrait être un « art de vivre ensemble » dans les sociétés démocratiques.
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