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06/09/2023

VIENT DE PARAÎTRE : N° 236

Douze articles publiés plus ou moins récemment par la revue ont été sélectionnés autour de trois thèmes dont l'actualité reste vive : apprentissage ; expérience ; alternance.

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Parution n°200 - 2014-3 - S'étonner pour apprendre

Il existe 19 articles pour cette sélection.

Titre de l'article	Auteur
Petite métaphysique de l’étonnement	Daniel Hameline
Mais où est donc passé l’étonnement ?	Philippe Meirieu
Evénement et étonnement : pour quel apprentissage ?	Jean-Pierre Boutinet
L’homo demirans ou l’homme qui, s’étonnant, devient connaissant	Guy Jobert, Joris Thievenaz
Pédagogie de l’étonnement et pédagogie de la surprise	Jacques Ardoino
Apprendre à s’étonner	Patrick Mayen
L’étonnement, fondateur d’un parcours de vie et de recherche	Jean-Paul Bronckart
Surprises, découvertes, étonnements : l’entretien d’explicitation et l’éveil de la mémoire passive	Pierre Vermersch
Repérer l’étonnement : une méthode d’analyse du travail en lien avec la formation	Joris Thievenaz
De l’étonnement au problème	Michel Fabre
Etonnement, énigme et sciences humaines	Yves Schwartz
S’étonner au travail : quel rapport à la prescription ?	Paul Olry
L’entreprise éducative au prisme de la notion de « forme scolaire » : retour sur quelques étonnements dans un itinéraire	André D. Robert
Une clinicienne saisie d’étonnement	Mireille Cifali Bega
« Déçu en bien » ou l’étonnement comme pratique	Christine Revuz
Co-inventer l’étonnement dans un dispositif de professionnalisation	Max Masse, Grégory Gouyet
Vivre avec la maladie, c’est ne pas cesser de s’étonner	Philippe Zarifian
Surpris, étonné, déconcerté... Comment chatouiller la curiosité du lecteur ?	Daniel Marcelli
Surpris, étonné, déconcerté, voilà trois dispositions psychiques liées les unes aux autres et autour desquelles gravitent à la fois la capacité d’apprendre et celle d’être créatif. Aujourd’hui, l’étonnement a beaucoup perdu de sa puissance dévastatrice ; la « commotion violente » initiale s’est transformée en surprise, et l’étonnement s’attache à décrire la disposition intellectuelle et cognitive plutôt que la dimension affective qui, elle, reste le propre de la surprise. Faut-il, pour pouvoir s’étonner, avoir vécu des surprises ?
Figures de l’étonnement	Philippe Astier

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