Titre de l'article | Auteur |
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John Dewey, l’éducation et la reconstruction continue de l’expérience | Patrick Mayen |
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L’expérience comme verbe ? | Mathias Girel |
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Le dialogisme expérientiel : d’une conformation à une coformation critique | Eric Bertrand |
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L’expérience comme processus mobilisateur de la professionnalisation | Pascal Roquet |
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Apprendre la responsabilité à partir de son expérience. Le cas des managers publics territoriaux | Denis Cristol |
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L’élaboration des expériences : un opérateur de transmission ? | Youri Meignan, Paul Olry |
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La transmission à l’épreuve des réalités du travail | Jeanne Thébault, Catherine Delgoulet, Pierre-Sébastien Fournier, Corinne Gaudart, Annie Jolivet |
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Construire une nouvelle expérience en formation continue | Caroline Auricoste, Marianne Cerf, Thierry Doré, Paul Olry |
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Faire des liens : comment le stagiaire construit-il son expérience ? | Louis Durrive |
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La formation par alternance comme herméneutique expérientielle | Louis-Marie Bougès |
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Théorie de l’apprentissage transformateur et expérience de la recherche en formation des adultes | Michel Alhadeff-Jones |
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La délibération, tournant interlocutif de l’expérience | Noël Denoyel |
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L’expérience en formation : pavé dans la mare ou pierre de touche ? | Bernadette Courtois, Gaston Pineau (entretien) |
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Construire l’expérience : bibliographie | Corinne Lespessailles, Aurélie Puybonnieux |
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Le CUCES-INFA ou « Complexe de Nancy », creuset d’innovations pour l’éducation permanente (1954-1973) | Françoise F. Laot |
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L’article retrace l’histoire du Complexe de Nancy sur la période 1954-1973, en tant que vaste entreprise d’imagination institutionnelle. En effet, ses promoteurs se mobilisent dans un acharnement quasi obsessionnel à tenter de forger un statut qui puisse encourager et asseoir l’innovation en matière de formation d’adultes. Cinq périodes ont été distinguées. La première (1954-1959) est celle des antécédents du Complexe, marquée par un Centre universitaire de coopération économique et sociale (CUCES) qui se veut déjà innovant. La deuxième (1960-1961) est celle de la refonte du projet, avec l’arrivée de Bertrand Schwartz. La troisième (1962-1967) est celle où se déploie l’essentiel des innovations. La quatrième (1968-1969) est celle des remises en question. Enfin la cinquième période (1970-1973) est celle du démantèlement, qui se traduit par la disparition de l’Institut national pour la formation des adultes et la séparation, sous la contrainte, du CUCES et de l’Association du CUCES (ACUCES). S’intéresser aux conditions institutionnelles de l’action du CUCES-INFA permet non seulement de mieux appréhender sa portée et ses limites, mais également de mieux identifier les choix qui ont été opérés – et donc les options qui ont été écartées – au moment de la consolidation de la politique de formation en 1971. Cette histoire particulière apporte un éclairage complémentaire sur la construction du système français de formation. (Rubrique « Histoire et mémoire »).
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Les « serious games », instruments de transformation des situations de travail ? | Lydia Martin |
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