L’auteur expose pourquoi les conditions d’existence de l’humanité transforment les besoins d’apprendre. Il explore ensuite les organisations qui influencent les collaborateurs dans leurs rapports aux savoirs. Il s’intéresse enfin aux individus et à leur façon d’apprendre. La conjonction des trois familles de phénomènes atteste d’une transformation radicale des rapports aux savoirs. Dans la seconde partie, le texte met en évidence trois courants de recherche qui pourraient constituer les fondements du social learning, une notion en devenir. Sont évoqués les apprentissages collaboratifs, les apprentissages informels et les apprentissages à l’aide de technologies numériques.