La prévention des troubles musculo-squelettiques passe notamment par des formations « gestes et postures ». Plutôt que de façonner le corps à une standardisation gestuelle et posturale, ne devrions-nous pas nous orienter vers une remédiation corporelle ? Cela reviendrait à accorder un crédit à la souffrance, qui est le premier moteur de développement d’autres façons de faire pouvant déboucher sur un meilleur usage de soi. (« Question »)