Le développement durable est à considérer comme un nouveau paradigme, voire une nouvelle philosophie et une nouvelle éthique de vie. Pour le comprendre, le rendre efficient en y participant activement, de nouveaux modes de raisonnement, axés sur l’approche systémique des problèmes et la complexité, doivent être développés. S’inspirant de la didactique des sciences et de l’utilisation du modèle d’apprentissage allostérique dans le cadre muséal, cet article propose quelques pistes pour y parvenir.